Mon premier jour, à l’école , j’étais toute seule dans la récré ; je regardais jouer les autres et une fille est venue me dire : « tu n’as pas une amie ?" j’ai dit : « non ». Elle m’a dit : « viens jouer avec nous! " J'y suis allée et on a commencé à jouer. Un garçon m’a poussé sans faire exprès. Il s'est excusé et on m'a relevé; j’avais un bobo et on m'a amenée chez l’infirmière. On m’a mis un pansement et je suis allée en cours d’arts plastiques.

Le garçon un peu étrange (2ème partie)

Léon a maintenant quatre ans. Il a intégré la grande école d’Osaka, l’une des plus grandes du pays. Léon sait déjà lire, écrire et compter. Tout le monde sait qu’il a des pouvoirs sauf lui. Les enfants l’évitent et donc ne veulent pas jouer avec lui. C’est le plus intelligent de sa classe et il rêve d’être basketteur. Il joue régulièrement au basket avec son père parce que les autres enfants ne veulent pas s’amuser avec lui. Un jour, il rencontra un jeûne garçon un peu plus âgé que lui. Il avait l’air d’avoir neuf ans. Il lui dit :" voilà le fameux Léon. Je suis venu te faire une proposition." " Quelle proposition !" S'exclame Léon. Il lui demanda son prénom et le garçon lui répondit :"je m' appelle Rudeus et je suis venu pour te demander si tu voulais bien rejoindre l'école de magie". Léon lui répondit:"Mais je suis pas magicien". " Si mais tu ne le sais pas. Si tous les enfants ne veulent pas jouer avec toi c'est parce que tu est un magicien," affirma Rudeus. Léon accepta.  Trois semaines plus tard, Léon rejoindrait l'école de magie. Pendant ce temps, Rudeus lui apprit à controler ses pouvoirs qu'on appelle "Mana" chez les magiciens, Léon apprit quelques sorts inoffensifs pour le moment mais il fit de grands progrès. Il entra enfin à l’école de sorciers. Ses parents ont mis un avis de recherche pour Léon. Le gouvernement engagea donc des hommes pour retrouver sa trace. À suivre...

Les parents de cette petite fille sont négligents. L’école l'a chassée car son père avait de l’argent mais ne voulait pas payer. Son père boit toujours de la bière .

Je n’aime pas trop le français. Je préfère l'histoire. Je n’aime pas quand on a trop de devoir. Je n’aime pas trop le cours d’eps du mardi et du vendredi. Je n’ aime pas quand on a une heure de chimie. J’aime quand il y a de la neige parce qu’on peut faire des batailles de boule de neige. J’aime quand tout le monde fait grève au collège parce qu’on n’a pas école. J’aime quand on a deux semaines de vacances. Je n’aime pas les poèmes qu’on apprend. Ils sont trop durs. Je n’arrive pas à les réciter quand ils sont trop longs. J’aime quand on est en demi groupe parce que c’est plus calme. Je n’aime pas quand on commence à huit heure parce qu'on se lève trop tôt.

Enquête à la laverie

Un soir à 21 heures, une laverie de New-York se fait cambrioler.

La police arrive aussitôt avec des lance-roquettes et s’exclame :

-Haut les mains !

-Poil aux mains !répond le voleur qui s’enfuit en montgolfière.

La police appelle toutes les personnes qui se sont fait laver leur linge pour les prévenir que la laverie a été cambriolée.

Les enquêteurs recherchent des indices sur « les lieux du crime » pour avoir des indices. Des empreintes digitales sont repérées sur une chaussure de cuir et sur des laves-linges. Un couteau à beurre de cacahuète demi-sel prouve que le voleur a été armé. Depuis cette découverte, la police ne sait pas où se cache le voleur car il y a plein de centre-commerciaux à New-York mais une montgolfière a été localisée par un radar. Elle se dirige vers une déchetterie. D’après les radars, la montgolfière se pose sur le toit

d’un bâtiment. La police se rend sur place et ils trouvent un pot de beurre de cacahuète demi-sel dans la montgolfière. L’un des policiers dit :

-Il est gourmand ce voleur !

-Tais-toi Jhonn ! Répondent les policiers en s’énervant.

Les enquêteurs se rendent dans la salle qui se trouve en dessous de la montgolfière quand tout d’un coup :

-Je vois une personne, il est là bas ! Crie Jhonn .

-Vas-tu te taire à la fin?! Hurle tout le monde sans réfléchir , puis ils demandent :

-Tu l’as trouvé où ?

-Dans le bac des vielles machines.

Les policiers cherchent le voleur et trouvent une trappe. Ils ouvrent l’entrée et découvrent, tous les vêtements dérobés avec une étagère de pot de beurre de cacahuète demi-sel. Le voleur s’est mal dissimulé puisque tout le monde le fixe.

-Oh non, je me suis mal caché.

-Poil au nez !