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    Assassin's Creed

    Au 18e siècle, un ancien ninja qui s’appelait Thomas se fit voler son argent par les gardes français du roi Louis XVI. L'ancien soldat fut énervé ; il avait entendu une rumeur sur une vieille personne qui serait contre les mêmes ennemis que lui; cette personne se trouvait dans un manoir dans les Collines du Dragon. Le personnage voulut lui parler ; quand il fut arrivé devant cette grande maison, il toqua à la porte, le propriétaire regarda à l'entrée et demanda ce que voulait Thomas. Le ninja lui expliqua tout et la personne accepta de l'aider en le préparant à devenir un homme qui assassinait contre des armées qui s'appelaient «Les Templiers». La veille personne s'appelait Achilles et le clan du ninja s'appelait les Assassins ; il s’entraîna pendant un an et demi ; il devint un tueur et jura d'arrêter le roi grâce à la révolution qu'il y avait dans la ville. Quand il fut arrivé à Paris, il décida de changer son identité et de cacher son visage avec la capuche de sa tenue ; il restait sur ses gardes avec sa lame secrète au bras. Thomas entendit des cris de révolutionnaires qui avaient éliminé une armée de soldats ; le ninja les rejoignit et tenta de rentrer à l'interieur du château mais deux gardes le stoppèrent. Alors le personnage sortit sa lame, les tua d'un seul coup et se remit en route. Il vit le roi sur son trône tout seul et l'obligea à se rendre. Alors le souverain fut emprisonné et décapité le vingt-et-un janvier 1793. Thomas fut tranquille pendant longtemps jusqu'à ce que quelqu'un vint en France et celui-ci s'appelait Napoléon Bonaparte.

     


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    Le tournoi des champions

     

    Bonjour, je m'appelle Omar et j'ai participé au tournoi des champions. Toutes les personnes du monde pouvaient y participer. Cette compétition se déroulait pendant deux mois. Comme il y avait école, c'était organisé quand on n'avait pas cours .Cette compétition, tu pouvais la faire chez toi. Pour l'effectuer, tu devais avoir soit une PS4 soit un PC soit une XBOX ONE soit une Nintendo Switch. Comme jeu, il y avait FORTNITE et FIFA 19. La règle était de faire le plus de top un. Celui qui le fait c'est le dernier survivant. Pour FIFA 19, il y avait la mise à jour pour les personnes qui s'étaient inscrites.Dans cette épreuve ,tu pouvais choisir toutes les équipes et clubs du monde. Le but était de gagner le plus de matchs. Moi, Omar, j'avais la Playstation 4. Tous les vendredis en rentrant de l'école, je m’entraînais jusqu'à dix-neuf heures. J'étais premier au classement et peu après était la finale, celle de FIFA aussi. Enfin le jour est arrivé. C'était un « un contre un » dans le mode créatif ; c'était en quarante kills. Quand on a commencé, je jouais contre un brésilien. Donc on parlait en anglais. Jusqu'à la fin de la finale, il y avait égalité ; le premier qui était tué avait perdu. Je l'ai tué avec un fusil de sniper. J'ai gagné le tournoi de Fornite ; je n'arrivais pas à le réaliser. On a fêté ça au Space Laser et on a gagné un voyage à Dubaï moi et ma famille. Quand on est arrivé, je suis allé directement dans la piscine. Mes parents et moi avons décidé de rester y vivre pour toujours.

     


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    Il y a un an quelque chose s'est passé d'étrange chez un enfant de onze ans nommé Barry. Ses parents étaient des scientifiques. Un jour, alors qu'il s'était battu avec son ennemi au collège, il rentra chez lui. Sa mère qui venait de rentrer du travail, elle l'informa qu'elle avait reçu un message comme quoi il s'était bagarré. Elle lui demanda si s'était vrai. Il répondit avec honnêteté. Elle assura qu'elle n'allait rien dire à son père, pour qu'il ne le gronda pas. Plus tard, son père arriva à la maison. Alors que Barry dormait, il sentit des tremblements. Il regarda autour de lui, il vit de l'eau sortir au ralenti d'un verre qu'il avait dans sa chambre, il se demanda ce qu'il se passait, alors il descendit en bas. Il vit deux éclairs (un jaune et un rouge) entre la mère de Barry qui était en train de pleurer. Il crut voir deux personnes courir. Son père cria à Barry : « cours, Barry, cours. » Soudain l'célair rouge emporta Barry dehors. Une fois qu'il ne vit plus rien, il retourna chez lui. Il vit la police et sa mère morte à côté. Des policiers lui demandèrent ce qu'il s'était passé. Alors il leur raconta ce qu'il avait vu mais les policiers ne le croyaient pas. Ils accusèrent son père d'avoir tué sa femme. Depuis ce jour, d'un côté, Barry était content d'habiter chez sa meilleure amie et, d'un autre, il ressentait de la haine car son père était en prison. Quand Barry sut qu'il était derrière la grille, il pleura toute une journée et il ne voulait pas lui rendre visite. Personne ne sut pourquoi la police l'y avait mis.


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    SANTIAGO

     

    Santiago est le plus grand bandit d'Argentine. Vous voyez Pablo Escobar ? Il est pire. Il a été convoqué au tribunal de Bueno Aires plus de mille cinq-cent fois dans sa vie, mais il n'est jamais venu mettre un pied en prison. Il est né en Avril 1971, il a quarante-huit ans aujourd'hui. Je vais vous raconter son histoire.

     

    On est le vingt-cinq décembre 1985, Santiago a quatorze ans. Mais lui, il ne fête pas Noël comme tous les ados de son âge, il n'a pas de cadeau ; lui, il n'en a qu'un seul chaque année : un nouveau pistolet offert par ses amis. Il traîne dans des favelas remplies d'armes et de drogue. Il n'a aucun parent, ni tuteur. Santiago Sanchèz n'a qu'un rêve : venger son père. Il s'appelait José Sanchez, et il s'est fait tuer par une bande de criminels alors que son fils avait cinq ans. Santiago veut retrouver cette bande, quitte à tuer une centaine de personnes. Sa mère, elle, est décédée à l'accouchement. Ça fait donc neuf ans qu'il vit seul, juste accompagné par deux garçons plus âgés que lui. Ce jour là, il est vingt trois heure trente, et Santiago s'apprête à voler de la cocaÏNE DANS UN VIEIL ENDROIT CACHé où des voyous surveillent la drogue. Il marche discrètement, il se rend compte qu'il n'y a qu'un bandit qui guette. « Cette fois-ci, ce sera facile, » pense Santiago. Mais le guetteur tourne la tête, il remarque le jeune de quatorze ans. « Les gars ! Il y a quelqu'un! » crie le gardien. Mais il n'a pas eu le temps de finir son cri de détresse. Santiago le menace d'un revolver noir. 3Tu parles encore un e oifs, t'es plu sd ece monde, » dit-il. Le guetteur tremble, il lève les mains en l'air. Santiago lui demande de lui donner la cocaïne.

     


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    Le jeu

     

    C'était l'anniversaire de Médéric, il venait d'avoir treize ans quand tout a commencé.

    Pour ses treize ans, il eut son propre ordinateur. Il était très impatient à l'idée d'en avoir un rien que pour lui. Ses parents avaient longuement réfléchi mais ils étaient d'accord pour lui en offrir un. Le jour de son anniversaire, il avait aussi eu son premier jeu. Il installa tout son matériel dans sa chambre, il alluma l'ordinateur et commença à jouer. C'était un jeu en ligne assez simple et classique, mais à peine il commença une partie qu'il savait que ça allait devenir son jeu préféré. Il joua plusieurs fois avant de sortir de sa chambre pour aller manger et pour s'amuser avec son petit frère. Il n'était pas très attaché à son jeu et il jouait de manière raisonnable. Mais au bout de quelques semaines, il partait de la pièce juste pour se nourrir, il ne rangeait plus rien et n'allait plus au collège. Sa mère n'aimait pas son comportement et ne supportait pas qu'il ne sorte pas dehors, alors elle décida de partir en vacances sans lui, en lui laissant un mot, de l'argent et le chat. Médéric finit par arrêter de jouer et alla dans la cuisine pour s'alimenter. Il vit la lettre qui disait : « Nous sommes partis en vacances à Londres, sans toi. Ton addiction est devenue trop importante, tu ne nous parlais même plus. Nous avons pris l'avion nommé « Air deux cent soixante cinq », amuse-toi bien tout seul ici. Nous t'avons laissé le chat et de l'argent pour que tu puisses t'achter de la nourriture. » Il comprit qu'il avait fait une erreur et décida de regarder les informations. Il fut choqué d'apprendre que l'avion « Air deux cent soxante-cinq » avait disparu sans laisser de traces peu de temps avant qu'il lise la lettre. Il se rendit compte que la famille passe avant les jeux.





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