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    Le Boucher

     

    Il était une fois une grande fille de quinze ans qui s'appelait Gaëlle. Elle allait acheter de la viande. Mais au chemin, elle croisa le boucher. Gaëlle lui demanda si la boucherie était fermée, l'homme confirma d'une voix très grave. Le lendemain matin, Gaëlle retourna au vendeur de viande, mais la boutique était toujours fermée. Trois mois plus tard, tous les habitants du quartier ont appris que le boucher était en fait un assassin, qu'il avait tué sa femme et ses enfants.

     


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    La poupée maudite

    Il était une fois une pauvre poupée dans un placard. Elle voulut se venger, car on la maltraitait mais il fallait qu'elle ait accès à toutes les portes de la maison. La figurine commença dans le salon, où il n'y avait que les petits garçon car en haut, ils auraient fait trop de bêtises. Les invités étaient en route et la grande sœur prépara la table. La porte du salon était fermée, la marionnette était trop petite pour atteindre la poignée, mais la mère ouvrit la porte du salon et la poupée était derrière elle. La marâtre repartit sans les garçons, et l'être humain miniature prit le couteau sur la table et les tua un par un. Ensuite, elle alla dans la cuisine où il y avait la fille qui préparait à manger. Le jouet en laine mit ses dents venimeuses pour la tuer et, la tua. Elle alla de ville en ville pour tuer des gens pour être la seule et unique jouet au monde.


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    « BIENVENUE à FUN LAND Là Où ON S'AMUSE ET RIT TOUS ENSEMBLE ! Je suis votre hôte et votre guide. Laissez-moi porter vos bagages à votre chambre. Avez-vous fait bon voyage ?» dit le majordome. «Oui, mon brave» dit le président de Fun Land, «je vais rester trois jours.»

    «HIIIIIII mon diamant» dit la femme.

    Et c'est là que l'histoire commence.

     

     


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    L'enfant malheureux

     

    C'est l'histoire d'un enfant qui répondait au nom d'Hadès. Il était la seule personne de sa famille. C'était un champion d'arts martiaux. Son père lui avait apprit des techniques mais, au fond de lui, il y avait du désespoir, de la haine, de la colère, une envie de vengeance et de pouvoir. Son frère qui était à l'origine de la mort de sa famille a laissé la vie sauve à Hadès pour qu'un jour il puisse l'affronter et le tuer. Quand Hadès atteignit ses dix-huit ans, il partit à la recherche de son aîné. Une fois qu'ils se retrouvèrent, les deux se jetèrent dans un combat acharné. A un moment, le cadet dégaina son sabre et tua son frère ; celui-ci lui dit d'une voix tremblante : « Tu es bien de ma famille, Hadès. » Après un moment il se rendit compte que d'avoir assassiné son aîné ne lui avait pas stoppé sa soif de vengeance.

     


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    L'homme au parapluie

     

    M.Albert sortait constamment avec son parapluie qu'il pleuve, qu'il neige, qu'il y ait une tempête; enfin il sortait toujours. Le parapluie était un peut son porte-bonheur. Les gens, eux, le voyaient comme un fou mais lui n'écoutait pas les critiques. On le surnommait « l'homme au parapluie ». Il disait que ça le rendait populaire. Un beau jour, il alla prendre l'air mais en chemin il croisa trois jeunes hommes munis de ciseaux. Ces hommes avaient en tête d'en finir avec ce parapluie gênant. Ils trouvèrent M.Albert et découpèrent son porte- bonheur. Ces individus n'avaient pas vraiment de raison de le faire mais ils étaient tout simplement méchants et ne supportaient pas l'idée de voir quelqu'n d'aussi différent des autres. Une fois le parapluie en miette, l'homme rentra chez lui avec en mains les morceaux de son objet précieux. Arrivé chez lui, le coeur lourd et triste, il prit son accessoire préféré, le mit dans une boîte et mit le coffre dans un tiroir. Il pleura ensuite toute la nuit. Ce que les gens ne savaient pas, c'est que ce parapluie renfermait un secret terrible. En fait l'objet en question appartenait à son père. Son géniteur était une personne très importante pour lui, mais il mourut très tôt quand Albert avait dix ans. Cela marqua ce dernier. Depuit qu'il était mort, ce dernier gardait la protection de son père. C'était parce que il avait l' impression d'être avec son père. Voilà pourquoi celui-ci était triste; pour lui, ce n'était pas qu'un accessoire.Quelques jours après, il s'en était remis. Il avait fait le deuil de son père et la vie reprit son court.

     





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