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    Dès le début, il tomba sur une chose assez mystérieuse. C'était un collier avec une photo d'une dame. Cela marqua Romain qui décida de continuer les recherches. Et puis il trouva une médaille d'or d'un sport qu'il ne connaissait pas. Sur la médaille, il y avait écrit «champion de course à l'arme». C'était la première fois qu'il voyait ça. Ensuite il continua de faire des petite recherches pour faire passer le temps. Quelques heures plus tard, il n'y avait plus de clients et il était temps de fermer la boutique. Pauline monta à l'étage pour faire descendre Romain qui avait fini par s'endormir sur les affaires de Pauline.

     


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    VOYAGE DE CYBORG

    Un jour mon copain et moi avons trouvé un casque de réalité virtuelle entre la France et l'Espagne à Andorra. Dessus il y avait un bouton plus rouge qu'une fraise et il était écrit: «ne pas toucher». Mais nous n'avions pas fait attention à ça. J'ai pris le chapeau électronique, puis je l'ai mis sur ma tête et j'ai appuyé sur le point, et tout de suite Roméro et moi étions devenus des cyborgs; nos bras et nos jambes étaient métalliques. On avait tous les deux un ordinateur sur le poignet, j'aimais ça. Au début, mon ami n’arrêtait pas de dire: «Il faut rester discret, personne ne doit le savoir Sergio, parce que les gens ont peur de se faire envahir par les machines». Trois ans plus tard, on est parti en vacances, en avion. Après être descendus une dame bizarre avec un détecteur de métaux a remarqué qu’on était pas humain, elle a découvert qu'on était des robots et elle nous a aussitôt dénoncé à la NASA. Un monsieur de cette agence nous a emmenés, il me donnais la chair de poule. L'entreprise cherchait des cobayes pour aller sur Mars.


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    Un jour, un jeune lycéen du nom de Light y agamie découvre le Death Note, en français le cahier de la mort. Light le prend avec lui et se rend à un magasin pour regarder un magazine. Il voit une femme se faire agresser. Il sort le Death Note et écrit le nom de l'agresseur. Il doit écrire dix fois le nom du malfrat parce qu'il l'a entendu à l'oral de la bouche de la victime. A la dixième fois, l'ennemi est mort d'une crise cardiaque. Light rentre chez lui. Il va vers sa chambre et par un courant d'air apparaît un dieu de la mort du nom de Riuk. Il est venu dire au jeune homme qu'il serait avec lui. Il peut le voir tant qu'il utilise le Death Note et s'il ne veut pas du cahier, il le donne à Riuk. Le shinigamie dit aussi à Light que s'il meurt, il n'ira ni en enfer ni au paradis. Il ira dans le monde de Riuk ou le monde des dieux de la mort, du néant.


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    Il était une fois une petit fille qui était dans un magasin avec sa mère. La mère et la fille passent devant une poupée, la bambine veut l'acheter. Sa mère l'achète. Une fois à la maison, la fille déballe le jouet. Le soir, la bambine doit aller se coucher. A minuit, la marionnette passe à l’action, la figurine va à la cuisine, elle prend le couteau qui était sur la table, elle rentre dans la chambre des parents. Elle les tue, la petite se réveille. La poupée est face à elle, le baigneur lance le couteau sur la tête.


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    Bonjour, moi, je m'appelle Laïla, j'ai quatorze ans, je viens du Maroc. J'y suis allée avec mes parents pendant les vacances d'été. Il faisait très chaud. J'ai visité des villes : Marrakech, Agadir. J'ai pris beaucoup de photos, mes parents étaient très heureux et moi aussi. J'ai également visité des plages où il y avait de gros cailloux. Je suis restée sur une plage d'Agadir. J'ai vu un petit garçon monter sur un des rochers. Je suis partie le voir avec mes parents. On lui a dit de redescendre, mais il ne voulait pas. Mais, ce jeune homme croyait que c'était un jeu. Il est tombé la tête en avant. On a appelé sa mère qui était juste à côté. Les pompiers sont arrivés vite. Je suis partie le voir à l'hôpital avec mes proches. Il n'allait pas bien, les docteurs lui ont fait une radio du crane. Les médecins lui ont dit qu'il pouvait mourir, qu'il n'allait pas pouvoir survivre. Trois jours plus tard, l'enfant est mort, sa famille a beaucoup pleuré. Sa mère s'en voulait de ne pas avoir surveillé son fils. J'étais très triste, moi qui était sure qu'il ne sauterait pas.





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