•  

    La pêche

     

     

     

    Un jour, un jeune homme s'appelait Milan, était parti faire de la pêche avec son père. Celui ci s'appelait Ivan, il avait 35 ans. Ils partaient souvent très tôt car sinon il y avait trop de monde. La veille, ils préparaient les appâts avec des petits poissons morts. Milan et Ivan pêchait les carnassiers car ils trouvaient que c'était des poissons agressifs et sportifs! Ils allaient très régulièrement pêcher à Chavagne, à la Silandais. Dans cet étang, il y avait : du brochet, de la carpe, de la perche, de la brème, du gardon… En une journée, le plus de poisson pris par Milan était : un brochet, une tanche, 2 brèmes, 4 perches, 7 gardons, et une prise de carpe. Le poisson qui impressionnait le pêcheur était le silure, car il pouvait atteindre les 4 mètres ! Le jeune homme utilisait seulement des leurres qui sont des poisson en plastique.

     


  •  

    MAMAN J'AI RATE L'AVION

     

     

    La veille de noël, une famille recomposée mangea rapidement car la maman confirma: « Demain nous irons prendre l'avion ». Mathis se battit avec son cousin car il avait la dernière part de pizza au fromage et en se battant avec le grand, Mathis renversa la bouteille de coca et, à cause de cette bêtise, sa mère s'exclama: « Tu dormiras dans la chambre aménagée au grenier ». Mathis s'énerva: « Je ne veux plus voir ma famille». Le lendemain, il se réveilla mais toute sa famille était partie prendre l'avion. Il prit sa douche, se rasa alors qu'il n'avait que huit ans et qu'il n'avait pas de barbe. Il eut faim. Mathis alla dans sa chanbre de son cousin car il n'y avait rien dans le frigo et Mathis savait que son cousin avait de l'argent dans sa chambre au-dessus de l'armoire. Il monta sur l'armoire, l'armoire tomba sur lui mais il n'avait rien.

     


  •  

    En Amérique du nord, il existait un manoir abandonné; tout le monde préférait ne pas trop s'en approcher à cause d'une personne qui avait raconté qu'il était hanté. Longtemps après, une jeune fille débarqua en courant et criant à ses parents de la laisser tranquille. Tous les gens se retournèrent. Elle menaça ses parents que s'ils n’achetaient pas le manoir, elle allait...Le frère n'était pas d'accord mais s'ils ne l'achetaient pas...Alors il ne dit rien. Comme ils étaient riches,ils avaient des domestique pour les servir; ces derniers avaient commencé immédiatement le déménagement. Une semaine plus tard, Maïa la meilleure amie de Blandine, lui cria de venir. Elle lui dit qu'elle allait chercher ses affaires et qu'elle arrivait .Plus tard, les deux filles allèrent dans la chambre de Blandine.Elle était tellement grande qu'on pouvait si perdre. Elles commencèrent à s'amuser. Un domestique arriva pour annoncer le dîner. Après s'être régalées, les deux filles jouèrent à action ou vérité. Blandine devait révéler son plus grand secret .Elle hésitait pendant que MaÏa s'impatientait. Blandine lui raconta tout : elle lui dit qu'elle avait des pouvoirs magiques. Maïa avait peur et était impressionnée. Les deux filles se mirent en route à la recherche du passé de Blandine qui réfléchissait à pourquoi elle avait été attirée pars le manoir. Maïa la fit alors sortir de ses pensées. Elles se dirigèrent vers la chambre du grand frère ; il s'appelait Alexandre. Elles fouillèrent partout ,puis MaÏa finit par trouver quelque chose, un petit coffre. Elles l'ouvrirent et trouvèrent qu' une petite clé s'y trouvait.


  •  

     

    Il faisait noir. J'avais construit un abri avec du bois. J'avais allumé un feu puis je m'étais endormie. Le jour suivant je m'étais réveillée, mais je n'étais plus au même endroit. J'étais dans une cellule. Malheureusement, le soir précédent, pendant que je dormais dans ma cabane, la police m'avait retrouvée et m'avait emportée jusque dans ma cellule. Une heure après que je m'étais rendue compte que ceci n'était pas un rêve, un policier était arrivé devant moi et m'avait demandé de le suivre, je l'avais suivi et m'étais retrouvée dans une salle. Au milieu il y avait une table avec deux chaises ; je m'étais assise sur une des chaises et une personne était rentrée. Elle me posait des questions : «Pourquoi avez-vous tué vos parents? Pour quelle raison?» Je lui avais répondu avec colère, puis on avait quitté la salle .J'étais retournée dans ma cellule et c'était de plus en plus long. Les heures passaient et je me demandais quand j'allais pouvoir sortir de cette prison, quand je pourrais manger car j'avais très faim. A midi trente, l'heure du déjeuner, en rentrant dans le réfectoire ,il y avait beaucoup de monde. J'avais trouvé une place à côté d'une fille avec des cheveux noirs, un œil tout blanc et beaucoup de tatouages et de cicatrices ; elle me faisait peur mais j'avais l'impression de l'avoir déjà vue. Après plusieurs minutes de réflexion, j'avais enfin trouvé qui c'était : elle s'appelait Sacha. Dans son gang, elle s'appelait chacal : elle était la pire meurtrière.


  •  

    Le temps qui a été volé…

     

    Perla est une fille de douze ans. Elle vit dans un monde étrange, il y a des chats qui volent, un ciel de différentes couleurs, des rivières infinies qui parcourent les cieux, des mondes variables. Perla aime surtout le monde des sucreries, mais elle aime aussi beaucoup le monde des nuages ou le monde des fleurs. Son préféré, c'est le monde des boules de poils ( chiots, chatons, lapins, cochon d'Inde… qui planent), ils sont très aimables. Perla les adore. Elle croit connaître tous les mondes différents. Susie et Agathe, ses deux meilleures amies, passent leur temps à ses côtés. Perla se rend souvent à la bibliothèque mais, un jour, elle trouve un livre brun. Il a un titre très étrange, c'est «Par-delà les frontières de nos mondes». Perla pense qu'il vaut mieux le mettre là où elle l'a trouvé, puis elle se dit que si ce livre porte un nom aussi curieux, c'est qu'il y a certainement une raison. Alors elle décide de le prendre; une fois chez elle, Perla ouvre le livre avec attention. Mais ce qu'elle découvre l'arrête net : il n'y a pas un mot d'écrit. Déçue, Perla pose le livre dans un coin de la table, puis elle part chercher un verre d'eau. Quand elle revient, le livre n'a pas bougé: toujours pas un mot d'écrit. Perla se doutait bien que le livre serait sans illustration et sans phrase. Quand elle veut s'approcher, elle trébuche sur son gros dictionnaire, l'eau qui est dans le verre se renverse sur le livre… Perla, affolée, se presse pour aller chercher un sopalin ; quand elle revient, elle découvre que des mots et des schémas apparaissent… Perla, les yeux grands ouverts, cherche à comprendre ce qui se passe. Quand elle se ressaisit, elle tourne les pages, elle découvre le livre sans cligner un œil ni reculer sa tête. Sa mère, qui décorait un gâteau à trois étages pour l'anniversaire d'Agathe, se demande où est la serviette. Elle hurle:« PERLA! C'est toi qui a pris le sopalin? ! » Perla ne fait pas attention à sa mère. Elle ne se rend pas compte que l'eau coule goutte à goutte sur le sol. Sa mère qui est intriguée par le silence qui provient de la chambre a sa fille crie: « Perla! Arrête de m'ignorer! Je sais que tu m'entends! ». Perla, qui a enfin distingué la voix de sa mère, se précipite sur l'essuie-tout et dévale les escaliers tout excitée. « Tu es très agitée» lance sa mère quand elle arrive. « Moi? Non… ne te fais pas de souci pour sa… ». Le soir venu, Perla descend dans la cuisine et ouvre le frigo, elle prend une bouteille et deux clémentines puis remonte dans sa chambre. Il est minuit, Perla ouvre la fenêtre et saute sur un patapouf que sa mère avait oublié de ranger, puis elle ouvre le livre et se met en route...





    Suivre le flux RSS des articles de cette rubrique