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    Le cheval idéal

    Un jour une fillette de onze ans aux cheveux bruns, aux lunettes rouges et blanches rêvait pendant son cour de SVT. Son professeur M. Duserrieux lui demanda:

    -Ziza, qu 'est-ce que j'ai dit?

    -Eeeuuuh!

    Surprise dans son songe, elle répondit:

    -De chevaux !

    Ziza répondit trop rapidement.

    - A quoi pensiez-vous Mlle tête en l'air ?

    - De l'équidé idéal avec une crinière blanche, à la robe blanche, aux sabots marron et très gentil. Ce serait le cheval idéal à monter pendant mes cours.

    Le soir, de retour chez elle, avec encore une punition à la main, elle vit une queue, une longue queue blanche. Elle s' approcha et vit LE cheval de ses rêves. Ses parents le lui avaient acheté pour ses cours d'équitation et pour arrêter de rêvasser pendant ses leçons. Un jour, à son club d'équitation, elle demanda un box pour sa jument au directeur du centre équestre qui dit :

    - Comment elle s'appelle ?

    - Excusez-moi une minute !

    Elle n'y avait même pas pensé au nom de son cheval ! Ziza réfléchit, puis elle décida de l'appeler Saria comme le prénom de sa meilleure amie.

    -Elle s'appelle Saria !

    -D' accord, tu prendras le box n° 15.

    -OK ! Répondit Ziza.

    Puis après avoir mis Saria à l'écurie n°15, elle se dépêcha d'aller chercher son matériel, car son cours commençait dans dix minutes.

     


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    Iwa et Luka étaient deux jeunes japonaises qui survécurent au bombardement d'Hiroshima. Iwa et Luka venaient de se réveiller, elles sont allées voir leurs parents, comme chaque matin, mais ce jour là, leur père n'était pas là… «Ou est papa?!» ont demandé les filles. Mais leur mère n'a pas répondu...Iwa et Luka sont alors allées jouer dehors, elles s'amusaient bien, avant que la bombe tombe sur Hiroshima… Elles ont couru vers leur maison, mais elle était déjà détruite… Elles se sont alors assises, elles savaient qu'elles allaient mourir… Alors qu'elles toussaient énormément, un homme masqué leur a donné un masque-à-gaz et leur a dit de le suivre. Elles l'ont alors suivi et l'homme les a amenées dans un hélicoptère, elles sont montées avec lui. Il a démarré l'hélicoptère et est parti d'Hiroshima pour aller sur une île. Une fois arrivé là-bas, elles se sont rendues compte que l'homme était en fait leur père...




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    Naruto vs Sasuke

     

    Naruto s'approche de Sasuke et il dit : « Viens te battre! » Sasuke répond: « Pas de problème, s'il faut t'écraser, je le ferai ». Naruto commence par un multiclonage. Il appelle cent clones qui venait de lui et, tous ensemble, les cent-un Naruto attaquèrent Sasuke. Mais l'ennemi de Naruto les esquive tous . « Toujours aussi nul , à ce que je vois ». Naruto est très énervé, il enchaine avec la technique de Katon, la boule de feu suprême, et son ennemi fait la technique des mille oiseaux. Après, l'homme au Sharingan lance cinq shurikens sur le ninja. Il en esquive quatre mais le cinquième est dans son épaule droite. Naruto crache du sang, sauf que finalement c'est un clone. Sasuke pense : « C'est pas vrai !» Et Naruto, le vrai, qui est au-dessus de lui dit : « Coucou » ! Quand soudain, son ennemi a des petit points noirs partout sur son cou, et après sur ses bras. Il saute sur Naruto et il dit : « Sharingan » ! (C'est une technique qui permet de deviner ce que l'autre va faire). Sasuke devine que Naruto va jeter trois kunai sur lui, donc il se baisse en avance. « hé hé hé »...pense Sasuke, quand, soudain, Naruto ne voit plus Sasuke. Il se dit « mais où il est passé »? Et son ennemi, qui est derrière lui, fait les soixante quatre points du hake! Il frappe soixante quatre fois sur Naruto, qui tombe par terre, et soudain, Sasuke a peur… le démon renard a neuf queues sort une partie de lui de Naruto, mais il rentre aussitôt qu'il est sorti car Naruto n'a plus de chakra. Mais il se relève, et il dit : « Sasuke, tu me battras jamais! Je serai Hokage, point barre! C'est pas toi qui va m'en empêcher » !

     

     

     


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    Tout a commencé le 6 juin 1954. Un petit au nom de Duquo est né. Six ans plus tard l'enfant a commencé à jouer au football dans la rue. Les parents de Duquo étaient très pauvres, le père travaillait dans un hôpital, en tant qu'homme de ménage. La mère travaillait chez les gens pour nettoyer leur maison. En 1960 s'est déroulée la huitième coupe du monde au Brésil. Pas très loin de chez eux un bar apparu. Le père est allé pour voir tous les matchs du Brésil. Ils ont perdu pour la sixième fois en demi-finale. Le père de Duquo était triste. Duquo a regardé son père, il a dit : « Un jour je gagnerai la coupe du monde pour toi. »

    Un mois plus tard un tournoi s'est déroulé près de chez lui. Ce concours était organisé pour les jeunes de la rue, Duquo voulait y participer avec tout ses amis mais il y avait un problème : il n'avait pas de chaussure de foot. Tout près un camion de cacahouète est passé. Duquo a trouvé une idée : voler un sac de cacahouètes. Quelques minutes plus tard, il avait vendu tout le sac. Le jour suivant, le tournoi s'est déroulé. Duquo a marqué tout les buts jusqu'en finale.


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    Il était une fois une maison en guimauve où vivait une petite licorne, qui elle même, était faite de confiserie. Sa maison était dans les nuages; c'était elle qui contrôlait la pluie sucrée et chocolatée. Quand il faisait beau, elle distribuait des glaces à tout le monde. Et quand il faisait froid, elle donnait des manteaux de chamalow à tous ceux qui en avaient besoin. Cette licorne, était toujours gentille, souriante; elle aimait toute la ville et tout le monde l'aimait. Mais il y avait une personne qui ne voulait pas du tout de la petite licorne joyeuse, elle la détestait, elle voulait la détruire. C'était la licorne de pierre. La licorne noire vivait dans des sacs poubelles et puis personne ne l'aimait. C'est qu'elle était jalouse de la petite guimauve, elle aussi voulait être connue. Elle voulait même être une star, mais elle avait tellement de haine envers elle que, même parler à la petite sucrerie, elle ne pouvait pas le supporter. Un jour elle décida de rencontrer en personne la licorne aimée par tout le monde. Pas pour être gentille mais pour la tuer! Elle se dit: « elle va me reconnaître, il faut que je me déguise.» Petite licorne avait déjà eu affaire à la petite pierre. Elles se détestaient. Alors la méchante pierre se déguisa en villagoise, elle s'était couverte d'une nappe et elle avait fait deux trous pour voir. Puis elle se dirigea vers le village de la licorne faite de guimauve. Elle frappa à la porte toute moelleuse et appétissante. Le petit arc-en ciel de sucre ouvrit, puis elle parla: « Bonjour, que voulez-vous? » Le petit rocher méchant n'avait plus les mots. Elle se sentait impuissante et ridicule comparé à elle. Puis la petite pierre partit sans un mot. La licorne de guimauve ne comprenait rien. «Mais revenez, je ne suis pas cruelle! » La sorcière courut jusqu'à perdre haleine. Elle finit par rentrer chez elle.





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