Le pays du bonbon

Dans une ville imaginaire, une petite fille à l'âge de huit ans s'appelait « Guimauve ». En effet c'était un bonbon mais pas comme les autres. Elle s'était fait manger par un humain. La tête la première. Tout le monde se moquait de celle-ci. Un matin, la fille partit du pays, car on la maltraitait. Elle s'en alla de la ville qui s'appelait «Haribo» et rentra dans le paradis du gâteau. Ce petit sucre était aussi différent dans la ville du gâteau, mais les gens étaient plus sympathiques avec elle. La petite resta dans ce village fantastique jusqu'à sa mort car elle se sentait bien avec les gourmandises.

Alice ouvre les yeux et se souvient de son rêve : depuis qu'elle a perdu son fils, elle fait toujours le même rêve. Son fils, il avait deux ans quand il a disparu. Il aurait dix ans aujourd'hui. Il s'appelait Niko. C'était un mois d'octobre quand elle est partie faire les courses et qu'elle l'avait laissé seul car il dormait confortablement dans son lit. Quand elle était sur le chemin du retour, les bras chargés de nourriture, pressant le pas pour ne pas laisser son petit trop longtemps, elle sentit une drôle odeur. Alice lâcha ses courses, c'était sa maison qui brûlait à cinq lieues, ses jambes la propulsèrent en avant. Malheureusement, quand elle arriva, c'était trop tard, son enfant avait disparu. Depuis ce jour, elle fait le rêve qu'elle retrouverait son fils, qu'elle arriverait à temps pour le sauver; mais ce n'est pas le cas, son petit ange a disparu et la police n'a pas trouvé d'explication. Elle avait beaucoup pleuré ce jour-là, plus que tous les autres jours.

Alice ouvre les yeux et se souvient de son rêve : depuis qu'elle a perdu son fils, elle fait toujours le même rêve. Son fils, il avait deux ans quand il a disparu. Il aurait dix ans aujourd'hui. Il s'appelait Niko. C'était un mois d'octobre quand elle est partie faire les courses et qu'elle l'avait laissé seul car il dormait confortablement dans son lit. Quand elle était sur le chemin du retour, les bras chargés de nourriture, pressant le pas pour ne pas laisser son petit trop longtemps, elle sentit une drôle odeur. Alice lâcha ses courses, c'était sa maison qui brûlait à cinq lieues, ses jambes la propulsèrent en avant. Malheureusement, quand elle arriva, c'était trop tard, son enfant avait disparu. Depuis ce jour, elle fait le rêve qu'elle retrouverait son fils, qu'elle arriverait à temps pour le sauver; mais ce n'est pas le cas, son petit ange a disparu et la police n'a pas trouvé d'explication. Elle avait beaucoup pleuré ce jour-là, plus que tous les autres jours.

Au printemps

Les arbres fleurissent, à en cacher les oiseaux

Le soleil imite le pendule de l'horloge

Les fleurs aux mille senteurs attirent les reines du miel

Et quand le printemps touche à sa fin,

L'été est vite là pour le remplacer,

L'automne s'incrustera

Et passera le relais à l'hiver

Comme une danse sans fin,

Qui au bout d'un moment s'épuisera

Et où se diront oui la terre et les saisons.

Dans une banque deux personnes amenaient l'argent dans le fourgon blindé et partaient vers la gare comme chaque jour. Les voleurs étaient trois, ils avaient tout planifié depuis le début pour aller braquer le trésor dans le fourgon blindé. C'était le jour de s'approprier la fortune de la fourgonnette. Cette dernière partit et la voiture des voleurs la suivait. Près de la gare, dans un chemin ou il n'y a jamais personne, les cambrioleurs arrêtèrent le camion, mirent une fausse bombe sur le pare-brise. Les conducteurs furent sortis du camion et furent mis à terre. Les malfaiteurs prirent beaucoup de temps à récupérer les valises et la police arriva. Les braqueurs prirent la fuite dans une voiture de course. Un voleur prit son fusil et tua les policiers. Un gros avion ouvrit son coffre et la voiture entra dedans, ils partirent vers Las Vegas. Ils eurent tous les sacs de billets et les cachèrent. Ils menaient une belle vie tous les trois avec toute la somme.