Il était une fois une ville où il y avait un virus et où les plantes poussaient deux fois plus vite. Les gens se cachaient dans des bunkers à cause des plantes.Des gens mouraient à cause des fleurs toxiques. Un jour un homme se fit assommer, il dormit des années et des années. Quand il se réveilla, Son corps avait changé, il avait grandi, il était devenu blanc parce qu'il n'y avait plus de lumière. Les plantes avait recouvert les immeubles. Un an après, il mourut et son sang devint le vaccin. Toutes les plantes disparurent et la vie reprit.

Dans le gouvernement, une règle vient d'être imposée. Demain matin, chaque personne recevra un point de couleur qui définira son futur; le bleu pour la vie et le rouge pour la mort. Un compte à rebours sera lancé. A 11h tout le monde recevra sa marque. Manon se réveille à 9h, elle espère avoir la marque bleue. 10H59, plus qu'une minute pense-t-elle, très stressée. C'est bon, elle retourne précipitamment son poignet. Elle est sur le point d'éclater en sanglots quand elle voit sa marque de la couleur de son sang. Elle réfléchit puis prend du fond de teint et couvre son poignet, ensuite elle prend un feutre bleu et dessine un rond. Elle va ensuite au lycée. Ses amies viennent lui dire bonjour et la questionne sur sa couleur. Manon réfléchit une seconde, puis répond qu'elle avait la vie bien sûr. En rentrant dans la classe, le professeur affirme qu'ils vont vérifier les signes sur chaque poignet. Le policier debout à côté de l'enseignant commence à regarder chaque point un par un. Tous bleus, il n'y a aucun problème, pour l'instant.

Bonjour, je m'appelle Elise, j'ai dix ans. Je suis née en 1959 et tout se passait bien dans ma vie. Un jour, je courais dans un champs de maïs et il y avait une rivière. Je courais quand je suis tombée dedans mais je ne savais pas nager. Je me suis noyée le 24 août 1969. J'avais une meilleure amie qui était muette.Elle s'appelait Alice, on rentrait de l'école mais je ne suis pas arrivée chez moi. Ma mère s'inquiéta. Donc après quelques heures elle appela la police. La police commença par interroger les gens. Après les policiers commencèrent à chercher; ils passèrent devant moi plusieurs fois.

Chapitre 2 : L'arbre magique

Il vit que c'était une pierre violette, il la prit et d'un coup, il entendit des voix qui venaient de partout. De peur, il rentra dans sa cabane. D'où venaient ces voix !? « Bonjour petit humain !! Très jolie ta cabane !! - Qui parle ? -C'est nous, les animaux et les arbres de la forêt. -Pourquoi je vous entends? - c’est à cause de la pierre magique. Le pouvoir de la pierre est de pouvoir échanger entre les animaux et les humains. Tu peux désormais parler à tous les animaux. - Un oiseau lui dit : « je m’appelle Jean claude. Tu es désormais le protecteur de la forêt.» Puis l’arbre magique lui expliqua qu’avec la pierre il pouvait avoir le pouvoir de la fusion élémentaire avec tous les éléments. Un écureuil lui dit : «  il y a des bulldozers qui arrivent pour détruire la forêt, c’est à toi de nous protéger. »

Chapitre 3 : Les Bulldozers

Arthur venait de prendre possession de ses nouveaux pouvoirs. Il ne savait pas comment les utiliser. Les animaux de la forêt l’aidaient à s’en servir. « Maintenant que tu es prêt, il ne reste qu’une semaine avant l’arrivée des bulldozers.» Une semaine plus tard, on entendit le bruit des machines au loin. Arthur fit une première fusion avec la terre, pour arrêter dix de ces machines. - Il en reste plus que quatre-vingt-dix, courage ! dit un oiseau. Il fit une seconde fusion élémentaire avec l’eau. Il transforma l’eau en piquet de glace et celui-ci détruisit vingt de ces engins. Il fit son attaque la plus puissante, une pluie d’éclairs qui détruisit les derniers des bulldozers. Tous les animaux poussèrent un cri de joie. « On va fêter ça avec une grande fête ! » dirent les animaux de la forêt.

Le journal d'abnare

Il était une fois un petit garçon du nom de Santo, il était pauvre et vivait dans le village de Fiague. Un jour, lors de l'anniversaire de ses huit ans, il trouva un journal caché dans le creux d'un tronc. Il était dans très mauvais état mais on pouvait tout de même distinguer ces quelques mots: CE LIVRE APPARTIENT À ABNARE, 1309. Il avait donc cent ans! Santo tourna la page curieux de savoir ce que contenait cet ouvrage. Il commença donc à lire… C'était un recueil qui parlait de monstres mi- hommes-mi-insectes. Abnare disait qu'il était vert avec une carapace noire et que des mandibules remplaçaient leur bouche. Santo n'en crut pas un mot. Il pensa qu'il valait mieux remettre le traité à sa place . Il allait le faire quand il entendit une voix dans sa tête: «Si tu remets mon journal tu mourras!» Qui êtes vous? Demanda santo. Ben voyons, c'est moi Abnare». Santo avait peur et ne croyait pas qu'il puisse avoir cent ans! «Bien sur que si! s'indigna-t-il .» Comment pouvait-il lire dans ses pensées! S'étonna Santo. « Je suis dans ta tête », répondit Abnare à sa question silencieuse. Santo allait jeter le livre quand il ressentit une cuisante douleur dans son bras droit.« Vois-tu, si tu ne fais pas ce que je te dis, tu mourras avec moi.» Santo n'avait pas le choix...