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    Mon espérance pour devenir un basketteur pro

     

     

     

    Ma vie de basketteur, c’est tous les mardis, jeudis et samedis à courir jusqu’au bout de ma vie, pour tirer en espérant que le ballon rentre dans le panier lorsque le ballon rebondit sur le cercle, pour me dire : « c’est juste de la malchance et je vais mettre le prochain dans le panier » . Au deuxième entraînement, je suis fier de moi. Le samedi pour le match, CPB contre Betton, je commence à stresser comme jamais et je pense : « est-ce que je vais être à la hauteur ? ». Au premier quart-temps, je débute le match, mon score n’est pas très bon: deux paniers sur six. Au deuxième quart-temps, on commence à perdre et on est mené de onze points.A la mi-temps, je fais une pause, je commence à perdre confiance sur le match. Pour le troisième, je mets quatre paniers et je commence, je me dis qu’il y a encore de l’espérance mais on est toujours à onze points d’écart. Pour la fin du match, on stresse car il n’y a que vingt secondes et on est mené de un point. Je cours jusqu’à l’épuisement et là, je reçois le ballon, je me prépare à tirer, je tire et je marque. Fin du match ! J’explose de joie car on a gagné grâce à l’équipe et à moi.

     


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    C’était le matin, il pleuvait et je n’avais rien à faire. Alors j’ai pris un livre et j’ai commencé à lire. Ce livre parlait d’un poulet mort avec un petit garçon qui pouvait l’apercevoir ; il devait trouver comment il était mort ; de plus en plus d’animaux apparaissaient et une personne était coupable. J’avais faim et mon ventre commençait à gargouiller. J’ai posé mon livre et je suis allé me chercher à manger ; lorsque j’ai vu le dernier biscuit, je l’ai pris et dégusté et je suis allé jouer dehors au parc. Quand j’y suis arrivé, le ciel était gris et une petite goutte a touché mon front. Il a commencé à pleuvoir des cordes et j’ai couru vers ma demeure. Je suis rentré chez moi, puis j’ai pris une douche rapidement et j’ai mangé un bol de nouille. J’ai été pris de fatigue et je suis allé me coucher.

     


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    Voici ma vie, je m’appelle Devran , j’ai douze ans et j’habite à Cleunay. J’aime le foot, c’est mon activité préférée, j’aime également les sports collectifs, j’aime aussi les réseaux sociaux comme par exemple: youtube, instagram … etc j’aime aussi jouer aux jeux vidéos, dessiner, me balader et découvrir de nouvelles choses. J’ai aussi un rêve, c’est de devenir footballeur professionnel un jour. De plus, j’aime bien regarder des films d’action ou d’aventure ou encore les films qui font peur. Par contre, je déteste les films de tristesse, les films d’amour ou de sentiments. J’aime aussi ma famille, par exemple : j’ai un cousin qui habite en Suisse, j’ai aussi de la famille en Turquie. Il y en a qui habitent à Paris, j’ai une tante qui habite à Marseille, j’ai un oncle qui habite à Guingamp,un autre à St Brieuc etc.! Et j’ai oublié de dire que je suis Kürde et la plupart du temps je vais en Turquie pendant les vacances

     


  • Lundi 12 mars (matin)

     

     

    Bonjour, je m’appelle Émilie, et je viens de me faire embaucher dans un hôtel comme femme de ménage. Cet hôtel n’a pas très bonne réputation, mais comme j’ai absolument besoin de ce travail, et que je ne trouve rien d’autre, j’y suis bien obligée. Je vais t’écrire tous les soirs en rentrant de l’hôtel. En parlant de ça, je devrais peut être y aller, à ce soir.

     

     

    Lundi 12 mars (soir)

     

     

    Bonsoir mon cher journal. Cet hôtel est vraiment bizarre. Lors de mon premier jour, c’est le patron qui m’a accueilli. Il avait l’air froid, et distant. Il m’a aussi montré mon planning et mes collègues; Mais il m’a surtout dit de ne jamais aller dans la chambre 213. ça m’intrigue vraiment. Pourquoi je n’ai pas le droit? Sinon ce soir, je vais au restaurant avec des amis. A demain.

     

     

    Mardi 13 mars

     

    Bonjour mon journal, c’est décidé: demain, je pars explorer cette chambre car aujourd’hui, pendant que je faisais le ménage au deuxième étage et que je nettoyais la chambre 212, j’ai entendu du bruit qui venait de la chambre 213, mais pas des petits bruits, j’ai entendu des cris humains qui hurlaient à l’aide. Demain j’irais donc voir cette chambre à l’improviste ( même si ça me fait très peur de m’ aventurer.

     

     

    Mercredi 14 mars

     

    Salut, j’ai vraiment peur; comme tu le sais, j’ai voulu aller couvrir cette intrigante pièce 213. Je crois que le directeur le sait car il a dit lors d’une réunion hier, que toute personne qui irait dans la chambre 213 serait renvoyée et n’aurait plus aucune chance de retrouver un travail dans le monde de l’hôtellerie. J’ai vraiment un peu d’appréhension, surtout que je n’ai pas pu pénétrer dans cette chambre, car le seul moyen d’y accéder c’est le passe-partout de la réceptionniste. Demain j’essaierai de le lui voler car je sens qu’il se passe vraiment quelque chose dans cette pièce, je veux trouver le mystère qui s’y cache. Au revoir.

     

     

    Jeudi 15 mars

     

    Bonjour cher journal,je t’ai ramené au travail(pour pouvoir exprimer mon ressenti «en direct». Actuellement je suis dans la laverie de l’hôtel et j’ai le passe-partout et je suis prête à entrer dans la chambre, je te reprends une fois ressorti de la pièce. Souhaite-moi bonne chance! C’est fait, je suis allée dans la chambre. Bien sûr, je suis chez moi maintenant. Cette chambre est sens dessus dessous. Elle était sale, mal entretenue et je suis encore tourmentée de ce que j’ai vu: des recettes pour transformer les humains en viande mangeable pour la servir au client.

     

    Quelqu’un a sonné à la porte, mais quand j’ai ouvert la porte: personne mais une lettre posée sur mon palier. C’est une convocation pour demain: 16 mars.

     

     

    Vendredi 16 mars

     

    C’est aujourd’hui ma convocation, malheureusement je ne sais rien sur la personne qui me l’a envoyée, je sais juste que c’est pour parler du travail. Je te raconterai tout en détail après ce rendez-vous. Mais j’ai comme un mauvais pressentiment.

     

     

     


  • Prologue :

    Noavreel (commandant de l’armée de l’empire)

     

     

    Ce furent des cris de terreur qui me tirèrent du sommeil. Je bondis hors de ma tente pour découvrir le loup Fenrir* en train de dévaster le camp. Son hurlement me déchira les tympans réduisant en lambeaux ma confiance et mon courage. Lorsque je rouvris les yeux, j’eus droit à un plan rapproché de la gueule de Fenrir.

     

    «Letta! » cria soudainement quelqu’un. Le loup s’arrêta puis se dirigea vers la bordure du camp en trottinant. Je manquais de m’étrangler quand je vis un gamin d’environ dix-neuf ans lui sauter dessus.

     

    «-ELIOS! Toi et tes monstres, allez au diable! Sois maudis; que les pleurs et la haine des morts vous tourmentent. Que…? » le reste de ma phrase resta bloqué dans ma gorge et le monde sombra petit à petit dans les ténèbres.

     

     

     

     

    *Loup géant, fils de Loki dans la mythologie nordique.

     





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