• L'OISEAU sauvage

     

    C'est l'histoire d'un bébé ara qui tomba de son nid et qui n'arrivait plus à retrouver ses parents. Un jour, une tribu amazonienne le trouva et l'emmena dans leur village au cœur de la forêt. Quand il fut prêt à voler seul, la tribu des Moyacatos le déposa à l'endroit de la jungle le plus peuplé de perroquets. Le petit oiseau s'envola mais ne trouva pas sa famille et il décida de la chercher dans cette vaste étendue verte. Quelques jours plus tard, il vit des traces qu'il ne connaissait pas et les suivit. Le jeune volatile se retrouva devant un énorme engin et se rappela de tout. Ce vacarme, il le connaissait. C'était la même machine qui avait abattu son arbre, quand il était petit et qui l'avait fait dégringoler de son abri. Il retourna sur les traces du bulldozer et retrouva ses parents qui étaient en train de refaire leur nid dans une pièce cassée du mastodonte jaune.


  • C'est l'histoire de Suzanne, douze ans, qui part en colonie de vacances dans les Alpes. Son oncle et sa tante vivent là-bas et ce sont des animateurs du centre de vacances. Ils lui manquaient beaucoup et elle avait hâte de les revoir !Comme elle habite à Brest, elle doit prendre le train pour aller là-bas. Dans le cheval de fer, elle rencontre quelqu'un du nom d'Angelo qui a treize ans. Il dit qu'il est né en Italie mais qu'il est parti vivre en France pour ses cinq ans. Elle raconte aussi son histoire : Ses parents sont tous les deux allemands et ont décidé de partir habiter à Brest quand elle était dans le ventre de sa mère. Ils lui ont donc donné un prénom germanique : Suzanne.

    Quand le train démarra, Angelo sortit un livre avec le titre : Le fromage pour les nuls. Cela amusa beaucoup la jeune fille qui dit :

    "- A quoi ça sert d'avoir un livre sur le fromage si tu pars dans une colonie du même thème ?

    - Je déteste me faire passer pour un nul au début d'un camp de vacances."

    Il lui montra son livre en pointant le titre du doigt et en riant. Suzanne fit de même et le voyage passa très vite, jusqu'à ce qu'une voix parle dans les micros :

    "- Le train est bloqué sur la voie suite à un arbre qui est tombé. Je vous demande de ne pas vous affoler car nous risquons d'être coincés pendant une bonne heure le temps que des sauveteurs viennent nous aider. Nous vous prions de nous en excuser."

    Le jeune homme remarqua l'inquiétude de son amie et demanda :

    "- Que se passe-t-il ? Tu as peur ?

    - Non, je n'ai pas peur, c'est juste que je suis déçue d'arriver en retard, je suis trop pressée de retrouver mon oncle et ma tante qui s'occupent de la colonie.

    - Tu vas dans cette colo tous les ans ?"

    Elle répondit "oui" en chuchotant. C'était une habituée de ce genre d'endroit et elle était toujours heureuse d'y aller. La nourriture était locale et le thème changeait tous les ans. Par exemple, l'année dernière c'étaient les légumes ; cette année, c'était le fromage.

    En regardant par la fenêtre, on voyait très distinguement une voiture qui arrivait. Cela ressemblait à un fourgon de police, on allait enfin les sauver ! En entrant dans le TGV, les agents de police  prirent un pistolet et hurlèrent :

    "- Que personne ne bouge, il y a quelqu'un ici qui n'a pas payé son ticket !"

    La panique gagna tous les passagers et tout le monde cria dans tous les sens, seul Angelo garda son calme et parla aux policiers :

    "- En êtes-vous sûrs ? Peut-être vous êtes-vous trompés de train ?

    - Non petit, cette personne avait prévu son coup depuis des mois et on la suivait discrètement. Son but était de voyager sans payer en réussissant à fabriquer un faux billet et à bloquer le train, puis  à se faire passer par quelqu'un qui aide les gens et enfin à voler le bien des passagers doucement pour repartir avec le magot à la fin du trajet."

    Suzanne eut comme une lumière dans sa tête :

    "- Votre histoire ne tient pas debout. Pourquoi ne l'avez-vous pas arrêté directement au lieu de faire patienter les passagers dans un train et qu'ils se fassent voler leur argent ? Je ne trouve pas ça très malin de votre part, surtout que vos uniformes ne portent pas le même logo. Vous ne faites donc pas partis de la même gendarmerie. Ou alors, c'est vous qui avez tout manigancé depuis le début ! Au nom de la loi, je vous arrête !"

    Puis, en une fraction de seconde, elle sortit des menotte en les attachant si vite que les faux-policiers ne se rendirent compte de rien. Plusieurs minute s'écoulèrent quand la vraie gendarmerie arriva et tout le monde lui demanda comment elle avait réussi à savoir qu'ils mentaient. Elle répondit :

    "- Mes parents sont des enquêteurs et je m'amuse à prendre leurs menottes pour rigoler. Comme je me fais tout le temps des films, je les ai pris pour ma colo car on entend beaucoup parler de braqueurs qui bloquent les voies en ce moment. Et puis, je rêve depuis toute petite de passer à la télé, il fallait bien que je joue mon héroine pour une fois. De plus, je lis tout le temps des livres policiers et j'arrive quasiment tout le temps à savoir qui est le criminel à la fin de l'enquête."

    Tout le monde applaudit et ils arrivèrent tous à destination sains et saufs.



  •  

    L'île sauvage

     Il était une fois un navire qui coula en pleine mer à cause d'une tempête mais il n'y eut aucun mort. Les passagers embarquèrent tous dans des canots de sauvetages. Quelques jours plus tard, ils arrivèrent sur une île sauvage. Très vite, les naufragés partirent à la recherche de nourriture et, avec les embarcations, ils construisirent des cabanes étanches. Cette tribu d'aventuriers en herbe s'adapta aux contraintes et apprit à chasser et se défendre contre les animaux sauvages. Quelques années plus tard, un petit avion eut lui aussi un problème technique et s'écrasa dans les grands arbres de l'île. Ce vacarme réveilla tout le monde, y compris tous les animaux dont les oiseaux, qui s'envolèrent. Le petit groupe alla voir ce qui se passait et vit des débris de la carlingue. Ils cherchèrent les rescapés, en vain, car ils étaient décédés lors du crash du jet. Grâce à sa radio indemne, ils contactèrent les secours qui les localisèrent et les sauvèrent.

     


  •  

    Un jour, un homme était recherché par la police car il avait volé dans une banque un million d'euros, car il avait besoin d'argent pour se nourrir. Il était déguisé en pirate. Le voleur avait une maison dans un garage. Au bout de deux jours, l'homme était toujours recherché alors qu'il était caché, un passant l'avait vu rentrer dans son garage, alors le civil appela sur le champ la police car l'homme était diffusé sur les télévisions de la rue. Vingt minutes plus tard, la police arriva et ouvrit la cachette. Le délinquant était là et se fit arrêter immédiatement, puis le voleur alla en prison pendant quinze ans. Le citoyen eut cent euros pour le remercier d'avoir aidé à capturer le braqueur.


  •  

    C'est l'histoire d'un professeur très apprécié par ses élèves. Il a une petite barbichette qu'il ne rase que pendant les grande occasions. Il vit une vie normale d'un professeur : Il se lève tôt pour aller dans sa salle pour préparer son cour, il mange dans un endroit réservé aux enseignants, mais il ne donne aucune observation, car personne ne l'embête puisque tout le monde l'adore. Un jour, alors qu'il rentrait chez lui, il reçut un paquet suspect. C'était une boîte en carton adressé à un certain M. LePro. A l'intérieur de cet étrange colis, il y avait une lettre, celle-ci disait :

    Rendez-vous ce soir au coucher de soleil près de la fontaine de la mairie pour avoir les informations sur le prochain vol en destination de New York. En échange, tu devras me donner le plan de la banque.

    Signé : XXX

    Le professeur Adox (c'est son nom) résuma le tout dans sa tête :

    On voulait lui donner les instructions pour prendre l'avion jusqu'aux États-Unis en échange d'une carte de la banque. Il fallait retrouver M. LePro pour qu'il sache ce que tout cela signifie. Pour cela, il avait son idée…

    S'il comprenait bien, l'expéditeur de ce courrier manipulait M. LePro pour connaître toutes les issues et les entrées possibles de la banque de la ville ! L'enseignant chercha sur internet l'adresse de la personne qui était censée recevoir le colis. Il trouva des informations très intéressantes :

    Il s'appelait Gérard LePro et habitait dans la ville voisine ! Le professeur se précipita dans sa voiture et partit à Bellefleur, le petit village où habitait Gérard. Arrivé à destination, il demanda à tous les passants s'ils connaissaient la personne qu'il cherchait. Au bout de vingt minutes, quelqu'un répondit :

    «- Oui, c'est mon voisin. Continuez tout droit et tournez à gauche. Vous êtes un de ses collègues ?

    - Euh… Oui, c'est ça. Merci beaucoup»

    Il n'avait pas d'autre choix que de mentir, sinon on pouvait croire qu'il voulait faire de la publicité ou quelque chose comme cela. En tout cas, il aurait des ennuis. Quand il fut à la bonne porte, il respira un grand coup et sonna. Quand on vint lui ouvrir, c'était un femme qui avait l'air d'avoir cinquante ans et qui avait une serpillière à la main. Elle lui dit :

    « - Vous cherchez M. LePro ? Je suis sa femme de ménage. Il est parti faire des courses, il sera là dans vingt minutes.

    - Très bien, je vais l'attendre ici.»

    Les vingt minutes semblaient une éternité, quand une une voiture s'arrêta devant la maison. Un homme sortit, en costume et cravate, bien rasé et coiffé. Avant d'entrer chez lui, il sortit sa clé de chez lui avec un porte-clés en forme de cochon où on pouvait voir écrit dessus : M.LePro. Ctait lui ! Quand l'homme au costume entra sa clé dans la serrure, il demanda à celui qui était assis sur le rebord de trottoir :

    « - Vous attendez quelqu'un ?

    - Oui, et il se peut que ce soit vous.

    - Euh, très bien. Entrez, ne restez pas là. »

    Quand il allèrent à l'intérieur, le professeur demanda :

    « - Est-ce que vous avez un ami qui pourrait vous offrir un voyage à New York ?

    - Pourquoi cette question ? Mais pour vous répondre, oui, j'ai un ami. Il s'appelle Pascal.

    - Dénoncez Pascal à la police !

    Un grand silence suivit cette phrase, quand une voix se fit entendre :

    « - Je savais bien que j'avais bien fait de vous suivre.»

    Quand l'intéressé se retourna, il articula:

    « - Vous êtes l'homme de la lettre, Pascal, n'est-ce pas ?

    - Oui, et je veux le plan de la banque tout de suite !»

    Le professeur Adox courut vers le téléphone et appela la police. Pour lui laisser le temps de les prévenir du drame, M. LePro fit une prise de judo au braqueur de banque. Il avait comprit que son ami l'avait trahi. A présent, il était devenu son ennemi et Gérard était prêt à tout pour le mettre en prison. Quand les policier arrivèrent, le criminel fut arrêté et les deux nouveaux amis devinrent détectives privés.





    Suivre le flux RSS des articles de cette rubrique