Histoire de dragon

Il faisait nuit, un jeune garçon traversa le village, s’arrêta devant une petite maison et frappa à la porte. Celle-ci s’ouvrit et un homme à la barbe argentée apparut:

« - Que me veux-tu, jeune homme ? demanda-t-il.

- Je voudrais vous poser des questions, répondit Brian.

- Très bien, entre, nous serons mieux à l’intérieur.

- Merci.»

Brian entra dans la maison éclairée seulement par la lumière de la lune qui filtrait par la porte.

«-Brising. Marmonna le vieil homme, avant de parler plus fort, une bougie allumée à la main. Assieds-toi, et fais attention!»

Brian avança tant bien mal jusqu’à un fauteuil.

«-Pose tes questions mon garçon, pose-les, je t’écoute… dit le vieux conteur.

- Avant que les dragons disparaissent, quelle taille pouvaient-ils atteindre? Quel age avaient les plus vieux? Crachaient-ils vraiment du feu? Les écailles d’un dragon brillaient-elles vraiment comme des diamants? demanda Brian.

- Calme-toi, mon garçon, calme-toi. Je vais répondre à tes questions, mais avant je dois te dire une chose: je n’aime pas être interrompu.

- Compris.

- Très bien, pour répondre à ta première question, la plupart faisait de vingt à trente mètres de haut, mais certains pouvaient faire la taille d’une colline. Ils pouvaient vivre éternellement s’ils n’étaient pas tués, et crachaient du feu vers cinq, six mois. Leurs écailles brillaient vraiment comme des diamants. J’ai répondu à toutes tes questions? demanda le vieil homme.

-oui, merci.» répondit Brian.

Tous les skippers ont envie de faire une course appelée « Le Vendée- Globes ». Mais moi, ce n’est pas cette course qui m’intéresse. La mienne, c’est « Le Trophée Jules Verne », c’est une course autour du Monde, mais il ne suffit pas seulement dans faire le tour, il faut le faire le plus rapidement possible. Et bien sûr, sans le moteur, à la voile et seul, sur un bateau de classe Ultime. Mon bateau fait quarante mètres par trente mètres, avec un mât de trente mètres également. Si je vous en parle, c’est parce que je pars demain matin à cinq heures.

C’est parti! Je pars pour je ne sais pas combien de jours.

Mon bateau et moi sommes rendus aux Canaries (des îles espagnoles).

Je suis passé entre les Canaries et l’Afrique, puis j’ai visé le cap-vert.

Au troisième jour de mer, c’est bon, je suis au cap-vert, je vais à une vitesse de trente-deux nœuds soit à une vitesse proche de soixante kilomètres par heure.

Pendant le sixième jour de mer, j’ai passé l’équateur et je suis en avance sur le record.

J’arrive au huitième jour sur un anti-cyclone et je dois le contourner, mais ça va être très difficile vu tourne du côté opposé à ma trajectoire.

Au dixième jour de mer, après l’avoir battu, je reprends ma route, avec deux jours d’avance sur le temps pour l’instant, tout est parfait et je vois des îles au loin, je vais à une vitesse que je n’ai encore jamais atteinte: quarante-quatre nœuds un peu plus de soixante-dix kilomètres par heures.

LE GRAND SAMOURAI

C’était l’histoire d’un jeune homme du nom de Shikaraki qui aimait tous les sports de combat et quel que ce soit l’adversaire, il gagnait toujours. Mais un jour, pendant qu’il était en train de s’entrainer, il avait pensé qu’il pourrait jouer au combat international. Comme ça, le monde entier pourrait voir sa force et sa détermination. Alors il demanda à son maitre Shinomaru s’il pouvait jouer en combat international pour devenir le numéro un des samourais. Son maitre refusa car il n’avait pas encore l’age. Shikaraki partit dans sa chambre tout en boudant.

Quel objet est le plus utilisé ?

Il était une fois, Chaise, Téléphone, Stylo, et Gel hydroalcoolique qui se demandaient parmi eux qui était le plus utile, alors chacun d’entre eux devait se présenter pour dire à quoi il servait. On procéderait par élimination. Téléphone commença :

- « Moi je suis utile parce que vous passez par qui pour appeler votre entourage ?

- TOI !!!  répondit tout le monde.

-Et en plus, vous pouvez prendre des photos, et installez des jeux avec moi.

- A qui le tour maintenant ? 

- moi !  s’exclama Chaise. Moi je suis utile parce qu’il va chez qui Téléphone quand il veut s’asseoir ?

- Chez toi !  répondirent Gel et Stylo.

- Moi, je ne peux que soit rester debout ou soit m’allonger !  dit Stylo.

- Tu sers à quoi alors ?  répondit Gel.

-Alors comment faites-vous pour écrire des mots ou des lettres ? s’exprima Stylo.

- Tu as raison mais ton encre n’est pas illimité mon cher !  répondit Gel.

-Oui, certes, mais si Didier Pittet n’avait pas fait des mélanges bizarres pour t’obtenir, tu ne serais même pas là ! rétorqua Stylo.

- BON STOP !!!  cria Téléphone !

- On va procéder au vote par élimination.  dit Chaise . Qui vote contre Gel ? 

- Moi, il m’a trop mis en colère.

-Nous aussi ! » rétorquèrent Stylo et Téléphone.

Gel était éliminé.

- « Alors nous allons faire pierre, papier, ciseaux pour définir le grand vainqueur!» s’écria Chaise.

Alors Téléphone et Chaise décidèrent de refaire le jeu.

Téléphone fit le geste pierre.

Chaise répondit avec le geste ciseaux.

Téléphone gagna cette manche, il avait deux points et Chaise en avait un.

Téléphone fit le geste papier.

Chaise rétorqua avec le geste ciseaux.

Téléphone et Chaise eurent chacun deux points.

Ensuite Téléphone fit le geste pierre avec confiance.

Chaise répondit avec ciseaux, mais perdit malheureusement.

Téléphone gagna cette manche avec trois points contre deux.

- « J’AI GAGNE !!!» cria Téléphone.

Chaises fut éliminée.

« C’EST MOI L’OBJET LE PLUS UTILE !!!! s’exclama Téléphone.

Pour aller dans l’espace il faut être un minimum entraîné. Est-ce que je le suis? Je ne pense pas. Mais par contre, je suis riche, enfin plutôt mon père adoptif. Il possède apparemment cent-quatre-vingt milliards de dollars. Oui, ça fait beaucoup d’argent. Mais comme je suis un économe j’utilise mes un million de dollars pour… payer mes études. Je suis au CIA Training Center (CIATC ou CTC). Ici on a les cours les plus importants seulement: mathématiques, langue, EPS et mise en situation réelle. Il y a eu quelques morts mais ce n’était pas si grave que ça et ils avaient signé : ils sont donc responsables de leur mort. Moi, mon professeur était Truc Machin. Il est très, comment dire, pour ne pas être vulgaire, je vais juste dire qu’il est différent. Explication : il se fait avoir plusieurs fois par le ALT+F4 qui éteint l’ordinateur. Ici plusieurs veut dire entre cent-cinquante et cent-soixante-quinze fois. Cinq ans plus tard, j’ai été diplômé du CIATC : je suis devenu chef d’entreprises : Abidasa, Sung-Sam, Gloogloo, Keni et Pomme. Et j’ai donc quatre-cent-quatre-vingt milliards d’euros dans mon compte bancaire. Je compte maintenant acheter Maïcrosoft.