• Une histoire se termine toujours d’une même façon

    Le loup fait sa sieste. Lagneau s’approche doucement et lui saute sur le ventre. « Je veux un bonnet ! crie l’agneau. Tricote-moi un bonnet tout de suite. » Et le loup va chercher deux pelotes de laine des aiguilles à tricoter et un modèle découpé dans un catalogue de tricots. Il s’applique énormément, mais le fil lui échappe sans cesse et les mailles se défont. L’agneau est mort de rire, il ne peut plus, il se tient les cotes et se roule par terre. Le loup est tout penaud. L’agneau s’échappe et le loup lui court après parce que quand le fil lui échappait, l’agneau a rigolé, et comme le loup était furieux, il l’a pourchassé. Quand l’agneau est fatigué, il dit au loup :« Je suis désolé d’avoir rigolé ». Le loup lui répond : « Ce n’est pas grave mais ne recommence pas ». Il dit : « Promis mais tu peux me refaire un bonnet s’il te plaît, et je ne recommence plus ». Le loup lui répond : « D’accord, mais tu le promets ». Après, le bout du fil s’échappe à nouveau, l’agneau se moque et le loup lui recourt après.


  • Il y a plein de témoins qui aurait pu vous racontez cette histoire mais je vais vous proposer ma version…

     

    C’était il y a bien longtemps, à l’époque des pirates. J’étais alors un jeune mousse et je naviguais sur le bateau du terrible « Langue Rouge »; son navire s’appelait « Desperanza ». Partout où on criait son nom, la terreur régnait. Nous écumions les mers à la recherche du trésor de Barbe-Rouge ; ce pirate avait été le grand-père de notre capitaine, il avait découpé la carte de son trésor et en avait donné une partie à son fils et l’autre partie à sa fille. Notre capitaine avait donc hérité de la partie de son père. Un soir, alors que nous accostions au port de la Tortue, un hurlement se fit entendre: « You hou, j’ai trouvé un trésor, j’ai trouvé un trésor ». Un hurlement de joie qui rameuta tous les pirates présents sur la Tortue, nous et notre capitaine aussi; quand on est arrivé, le capitaine a poussé un rugissement : « Ma tante a trouvé le trésor que je cherche depuis tout ce temps ». Il a traversé la foule et s’est enfoui dans les bras de sa tante sous l’indignation générale ! A l’époque les pirates n’étaient pas très évolués et pour eux, c’était honteux de faire ça. Ils s’éloignèrent en continuant de les huer. Heureusement qu’il y avait un tavernier sain d’esprit qui nous accepta ! Cela se finit en agréable repas de famille avec nous bien sûr !


  • Roi

     

    « Sacré chenapan ! » me disait-il. Ce roi avait le mérite de son poste. Il faisait la guerre, peut-être, mais c’était un être fantastique ! Ce sire était extraordinaire, il apprenait aux petits enfants à grimper dans les plus hauts arbres de la prairie, et quand les bambins arrivaient au sommet du géant, ils criaient : « King, king, viens m’aider ! » Et le bon roi leur disait : « Bouge pas gamin, j’arrive ! » En outre, il expliquait aux marmots comment éviter d’aider ses parents : « Désolé chers tuteurs, le devoir m’appelle ! » Et hop, il fallait déguerpir le plus vite possible hors de la maison. A la fin de chaque journée, une dizaine de parents venaient se plaindre auprès du sire, mais le roi leur transmettait un message qui était toujours le même : «  Vous éduquez vos petiots sans amusement, cela ne colle pas, vous allez les rendre malheureux ! » Les géniteurs rentraient bredouilles.

    Le monarque organisait souvent des fêtes chez lui et invitait toute la tribu à partager un délicieux pudding autour du feu. Pour les goûters, le roi offrait aux enfants des glaces norvégiennes (goût bonbon ultra chimique).

    J’allais souvent le rejoindre l’après-midi après avoir acheté quelques sucreries à l’épicerie du coin . Il me montrait tous les oiseaux qui passaient au-dessus de nos têtes, en disant : « J’espère que celui-ci ne nous fera pas partager ses restes de repas ! ». Il me donnait des renseignements sur chaque espèce de volatile qu’on apercevait. Il désignait du doigt son oiseau préféré et me demandait d’en faire autant.

    Avec le temps, les gens grandissaient et pour certains, vieillissaient, c’était le cas du roi . Il avait besoin d’un réconfort, de quelqu’un qui l’amuserait dans le futur, quelqu’un qui pourrait lui montrer les oiseaux des plus laids jusqu’aux plus irrésistibles. Le si bon monarque qu’il avait été m’avait choisi pour lui monter ce qu’il m’avait transmis.


  • Il était fois un roi qui était très pauvre, il donnait son argent à son pays, mais son fils était obsédé par l’argent, il convoitait la place de son père. L’oncle était très riche. Un jour, son oncle mourut de la grave maladie surnommée la tuberculose. Son père prit donc cet argent, en donna une partie aux villageois, à son fils et hérita le reste pour lui. Mais une nuit son fils partit dans la cuisine chercher un couteau et alla dans la chambre de son père qui se retrouva dans un cimetière puis son fils devint très riche, mais il vit qu’il n’y avait de bonheur et il se pendit .


  • Le pop corn

    C’est bon le pop corn quand tu fais une soirée. Surtout devant un film au cinéma. Mais un jour le pop corn a disparu du cinéma, il n’y avait plus rien. Le directeur appela la police.

    La police qui pensait que c’était un mensonge se retrouva bien surprise quand les agents virent que ça n’était pas faux. Ils commencèrent l’enquête. Ils vérifièrent les salles. Le directeur vit une personne tout à fait normale mais qui tenait une boite de pop corn. Il appela tout le monde et la fin ne fut pas compliquée. Ils arrétèrent la voleuse, laquelle avoua que c’était elle. Elle était très recherchée. Le directeur gagna beaucoup d’argent et racheta du pop corn.





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