• Il était une fois, dans la très grande forêt de Lernes, une elfe. C’était une toute petite qui s’appelait Aurore ; elle maîtrisait un élément, c’était l’eau. De ses mains, elle pouvait faire sortir des cascades et des grêlons. Ses parents étaient de puissants magiciens ; sa mère maîtrisait la terre et son père maîtrisait l’air. Elle était fille unique et avait une meilleure amie qui s’appelait Lavande. La communauté elfique vivait en cachette des humains qui brûlaient tout être différent. Mais ce qui devait arriver arriva, un humain les découvrit. Il se baladait dans la forêt et il avait entendu un bruissement, il avait écarté deux buissons et ses buissons menaient au village des elfes. Il repartit en hurlant et en courant ; c’était aussi la panique chez les elfes ! Tous les adultes cachèrent leurs enfants. Quand ils eurent mis tous les petits à l’abri, ils se mirent en position de combat : des groupes d’elfes se mirent les uns devant les autres en arc de cercle et ils attendirent. Pendant ce temps Peter, ainsi s’appelait l’humain, était retourné en ville et avait averti tout le monde qu’il y avait des petits êtres avec des oreilles pointues dans la forêt …

     

     


  • Après avoir acheté mon billet pour Tahiti, je fis mes valises. A 6h00, il était l’heure d’aller au collège; je ne voulais pas croiser ma mère par peur de tout lui avouer, ce qui aurait été une grosse erreur. Arrivée au collège, je racontai tout à Lou ma meilleure amie. Elle était heureuse pour moi, mais elle ne voulait pas que je parte. A la fin de la journée je fis mes adieux à Lou et je rentrai chez moi pour chercher ma valise. Je laissai une lettre à ma mère et je partis pour l’aéroport. Je n’avais aucune envie de rester mais je ne voulais pas quitter ma famille et mes amies. A l’heure du décollage, je pris ma place et l’avion décolla. J’avais hâte d’arriver. Heureusement que j’avais mon téléphone pour pouvoir communiquer avec Lou ! Puis ce qui devait arriver arriva: un appel manqué de Maman. A ce moment-là, tout s’écoula autour de moi, je ne savais plus quoi faire…


  • Il était une fois, un lycéen très petit et très musclé. Il s’appelait Jeff et aimait la cuisine. Quand il était petit, ses parents étaient morts dans un accident de voiture et il avait donc récupéré :² l’argent, la voiture et la maison de sa mère et son père. Jeff faisait son possible pour trouver un travail et il venait de se faire accepter dans une pizzeria. Il était agent d’entretien ( ce n’était pas ce qu’il voulait faire mais ce n’était pas grave.) Un jour, réclamant au chef de vouloir faire des pizzas, il se fit renvoyer mais continua à persévérer et retrouva un travail, cette fois dans un grand magasin en étant caissier. Ce métier n’était pas trop fatiguant, payait très bien et Jeff faisait du 8h-16h avec trente minutes de pause. Un jour, en travaillant comme d’habitude, il trouva un jeune garçon d’environ six ans essayant de voler le plus de choses possible à une cliente. La sécurité l’attrapa mais Jeff le protégea et lui dit :

    « - Comment t’appelles-tu ?

    - Je m’appelle Primo

    - Primo, voler n’est pas bon, répondit méchamment Jeff.

    - Je suis obligé, c’est pour ma famille »

    Dans sa tête, Jeff se dit que lui n’avait plus de famille et si à ce garçon il lui restait des proches sur qui il pouvait compter, alors il allait l’aider et lui dit qu’il lui donnerait un peu d’argent pour nourrir sa famille et lui-même. Le garçon devint grand et était scolarisé grâce à l’argent de notre protagoniste. Primo eut un travail et avec cet argent, il fit une donation à sa famille et l’autre partie aux SDF et pour des orphelinats.

     

    Conclusion : Voler, c’est comme lancer un dé avec marqué : chance ou malchance. Mais plus vous prenez, plus il y a un pourcentage élevé sur malchance. Parfois les gens sont gentils et donc vous avez de la chance, mais parfois ils sont méchants, donc vous n’avez pas de chance.

     


  • L’OGRESSE

     

    Laissez-moi vous raconter une histoire. J’étais allé me balader, enfin plutôt aller chercher le pain avec ma soeur et une amie. On revenait, on mangeait discrètement du pain bien chaud, quand tout à coup, une dame au cinquième étage d’un immeuble nous appela. On regarda à droite puis à gauche, en bas et en haut. On aperçut la personne qui nous interpella : « les enfants, venez prendre des bonbons ». On l’examina. Elle avait un masque avec beaucoup de maquillage, on ne voyait pas son visage. Alors on se mit à courir jusqu’à notre rue. En arrivant, on avait perdu un demi poumon. On se dit aurevoir et on rentra chez nous.

    La morale de cette histoire est qu’il faut toujour se méfier des personne que l’on ne connaît pas.


  • La jument noire

    Moi, c’est Jade, j’habite à trente minutes de chez mes grands-parents et j’adore les chevaux. Je ne vais pas souvent chez eux mais, pourtant, je voudrais y aller tous les jours. Mes parents ne sont pas d’accord ils disent que je dois aller au collège. Alors ce week-end, je n’irai qu’avec mon père car ma mère travaille tout le temps.

    Je me réveille à huit heures et demie, je prends mon petit-déjeuner, je vais m’habiller en tenue d’équitation, je prépare mes affaires, je demande à mon père : « on part quand ? »

    Il est neuf heures et demie. Dans la voiture je lui pose plein de questions :

    -Vous aviez combien de chevaux avant ?

    -On en avait dix-huit ! me répond-il.

    Mon père et mon grand-père étaient cavaliers. Il ne leur en reste plus que deux maintenant : une shetland qui s’appelle Miss et une jument qui s’appelle Samba.

    En arrivant, je descends de la voiture et je vois mes cousins. Ils sont contents que je sois là, ils veulent me montrer leur cabane, les poules… Sauf que ce n’est pas ça qui m’intéresse. Moi, je veux aller voir les chevaux. Je m’approche de leur champ et Samba arrive tout de suite au trot suivie de Miss. Elle est magnifique. Mon père arrive et me dit :

    -Va chercher ma selle, tu vas la monter.

    Je suis très contente et aussi très stressée. Cinq minutes plus tard, je suis dessus, on est dans le manège. Je fais beaucoup de pas au début. Ensuite j’essaye de trotter. Mon père est tout près, accompagné de mes cousins. Tout se passe bien, je monte une bonne heure. Je vais aller manger, mais comme je finis toujours la première, je vais les voir. Je monte sur la shetland à cru, elle ne bouge pas ! Samba s’approche pour voir si j’ai à manger.

    Maintenant je la monte très souvent. Et c’est aussi devenu ma jument noire…





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